Après une panne de mon PC ( virus ), petit commentaire ce cette soirée Waltérienne ( j'ai
"inventé" ce terme exprès )
Je mettrais à la fin deux/trois photos.
Le Stade de France est rempli. Public quadra et quinquagénaire. Ambiance de folie.
Dernier concert d'une tournée qui a duré trois ans, opéra rock devrais-je dire, privilégiant les images que la mise en lumière des musiciens. Je reviendrais sur ce dernier point.
et je vous parlerais du fameux hélicoTout le monde connait le film, donc je ne raconterais pas sa philosophie sinon, que, sur les grandes lignes, il critique le pouvoir, l'argent, l'autorité, la guerre, la connerie humaine quoi en gros.
Côté spectacle : C'ETAIT MA-GNI-FI-QUE. Nous étions placés, Madame Alain et moi, juste en face de la scène, dans les tribunes, mais loin, très loin de celle-ci. Sans jumelle impossible de voir correctement ce qui s'y passait. mais comme je voulais voire de loin toute la mise en scène du show, nous étions idéalement placés.
Ca commence fort avec l'intro et le jeu de lumière qui suit le tempo, l'avion qui part du haut des tribunes sur notre droite et qui va s'écraser sur scène, whouaho, le ton est donné.
Le son était, comme vous l'imaginé, fort, très fort, avec une prédominance un brun, mais juste un brun, sur les basses. Un collègue de boulot qui y était aussi mais placé dans un virage, m'a dit qu'il avait ressenti un effet d'écho. Ces "petites" gènes sont peut-être dû au Stade lui-même.
Très vite, je suis passé de " l'envie de voire Roger Waters en concert ", à une imprégnation totale dans le film-vivant qui se déroulait devant mes yeux, bien qu'ayant déjà vu le film. Beaucoup, beaucoup d'émotion, de colère, de question, d'incompréhension sont clairement décrites, projetés, joués.J'en oubli presque que je suis au Stade de France tellement je suis pris dans le truc. Magique.
Et que dire de la chorale de St Ouen qui accompagna le septuagénaire sur " Another brick in the wall ". Je pense que ça va leur rester dans un coin de leur tête toute leur vie. Gros grand moment, frissons garantie.
Puis dans un coin de ma tête j'attendais l'hélico. D'où on était placé, juste en face de la scène, donc, visuellement et forcément le bruit avec, il vient de........................................................................................................
je vous le dirais plus tard.
Le mur se construit au fur et à mesure que le concert avance de façon à ne plus rien voire de la scène et des musiciens, pour être détruit à la fin ( je mettrais les photos pas top que j'ai prise ).
Je formulerais trois petites remarques, histoire de ne pas dire que tout était parfait :
- J'aurais, je dit bien "
j'aurais" apprécié que deux écrans géant soient installés au dessus du mur, qui ce même mur servait aussi d'écran, pour voire les musiciens et Waters.
- Quand le peu d'images de RW étaient projetées, il y avait un décalage entre le son et l'image. C'était un brun génant.
Mais encore une fois, c'est juste pour faire ma chochotte.
- Pis l'entracte qui gâche un peu l'ambiance, mébon.
L'hélico, bon allé, il vient pile poil face à nous, se barre sur la droite, fait le tour au dessus de notre tête, stationne au dessus du stade, et se barre à 13 heures ( à une queue de vache près )
Voili voilou.
Iroise 500, Ensemble Cairn Nitro / KO2, CD Cairn FOG 3 Soft, câble Cairn XO3 XLR et RCA, Marantz TT221 cellule Shure M95ED, Beyer DT 880.
Et pis c'est tout !!