Les concerts

[Doux_In_Noyaret]

Cool le concert Abdel.










Moi Steward Copland ça me dirait bien live....

[Abdel106]

C'est pas fini !!!!

J'Y CROIS PAS !

C'est la fête cette année !!!

En trois jours (veille et avant veille du concert de STING) :

27 MAI


BB KING



28 MAI

SANTANA





http://www.festivalmawazine.ma/fr/artistes-2010.html

[reglisse]

Profite bien de BB King car il arrête très bientôt.



En plus c'est lui que j'écoute en ce moment (Makin' love is good for you)

[Alain]

C'est pas fini !!!!

J'Y CROIS PAS !

C'est la fête cette année !!!

En trois jours (veille et avant veille du concert de STING) :

27 MAI


BB KING



28 MAI

SANTANA





http://www.festivalmawazine.ma/fr/artistes-2010.html

Et t'as pas honte de nous faire baver ?

Alain

[Abdel106]

Pour une fois qu'il se passe qqc de ce côté de la méditerranée ..

[Fredaxis]

Enjoy boy

[Walt Distrait]

Vu hier soir : William Sheller au théatre des bouffes du nord.
Je ne connaissais pas la salle, je l'ai trouvé magnifique. Il s'agit d'un théatre à l'ancienne, trés intimiste, avec une trés bonne acoustique.


Le concert en lui même etait trés bon, un Steinway, un chanteur, des succés, deux parties.
Un piano qui sonne vraiment, dans tout le registre.
Bref, un régal.


L'histoire du théâtre des Bouffes du Nord est assez atypique. Entre des épisodes fastes et de grande programmation, il connaît aussi des 'flops', plusieurs fermetures, des directeurs qui s'en vont avec la caisse, des émeutes... De fait, les Bouffes ont été gâtées en terme d'événements insolites. Construit en 1876 sur les bases supposées d'une ancienne caserne, il suit dans ses premières décades les évolutions du temps, du caf-conc' au théâtre de l'anarchisme. Le public se fait, quant à lui, plus timide. Longtemps boudé par les spectateurs parisiens, le théâtre des Bouffes du Nord est le témoin de véritables émeutes où la police est obligée d'intervenir pour expulser le public. Rebaptisé en 1904 'théâtre Molière', il se refait une santé et bénéficie des bienfaits de la fée électricité. Après la Première Guerre mondiale le théâtre connaît une période prestigieuse. A partir de 1923 il est inscrit par son directeur, Henry Darcet, dans le consortium des théâtres de quartier. Les Bouffes font tourner des spectacles à succès créés sur les boulevards, les prix des places sont modestes et l'affiche change toutes les semaines. Le théâtre résiste à la vague déferlante du cinéma qui transforme les théâtres de quartier en salle de projection. A partir de 1935 le théâtre n'offre plus qu'une programmation épisodique avant de rouvrir sous le nom de 'théâtre des Carrefours' en 1945. Jusqu'en 1952 le théâtre sous des directions successives s'essouffle et ferme finalement ses portes, trop vieux et trop mal entretenu. En 1974 le théâtre est sorti de la poussière par Peter Brook et Micheline Rozan qui arrivent à trouver les financements pour le rouvrir avec 'Timon d'Athènes' le 15 octobre 1974. Depuis suivant une politique d'un théâtre simple, ouvert et accueillant, les Bouffes du Nord est l'un des grands rendez-vous de la capitale.

[madorre]

Merci pour ce compte rendu.
Un beau cadre puis William Sheller....yess
On dit que ses concerts durent très longtemps. Qu'il rajoute des morceaux à la fin. Est ce vrais?
Car pas très loin de chez moi, dans une salle de spectacle en Auvergne il avait fini son concert vers 2h du matin.
A tel point, que le régisseur du théâtre, peu habitué à se coucher si tard était monté, sur scène pour venir lui tapoter (respectueusement bien sur) sur l'épaule,alors que l'artiste jouait du Piano pour lui dire:
"Hé, William: ché l'heure"

[Walt Distrait]

A peu prés deux heures et demie de concert, 3 ou 4 chansons en rappel.
Nan, on n'est pas volés.

[Alain]

Il me semble, à lire tes différents postes mémoire d'éléphant, j'vous dit que cela fait une paire de fois que tu vas voire William Sheller, non ? dont une fois dans le nord, si je ne m'abuse. De plus, tu étais à la recherche de l'album " Lux Aeterna", l'as tu trouvé ?

Qu'est ce qui t'attire vers cet artiste, que j'apprécie moi z'aussi, d'ailleurs ?

Alain.