Le grand café Cabasse

Arzens a écrit:
Pour les Adriatis, regarde bien la photo, elles sont complètes (j'ai tout de même fait repeindre une paire qui était vraisemblablement utilisée en démo et moins bien finie que l'autre paire)

Si je sais compter, tu as embarqué deux paires d'Adriatis, plus 18 autres paires pour 400 Euro, c'est ça ?

Je pense que tu ne regrettes pas le cout de location de ton camion

Et pour tes potes, j'imagine une paire de kara par tête, histoire de les remercier d'avoir posé un RTT en pleine semaine ?


Respect Arzens, du Grand Art.




(et sinon Kara contre Adriatis qui c'est qui gagne ?)

Alain a écrit:Depuis, l'usine est vide de chez vide ?

Je me suis fait la même réflexion...
Tes deux potes ont dû être heureux d'en être...

Ca c'est comme le gars qui gagne au Loto, tu t'imagines à sa place et pfffffffffff.... Rah putain...

Je suis sans doigts....

C'est où la prochaine usine Cabasse qui ferme?

Je ne sais pas si je dois te remercier de nous avoir fait partager ton histoire ou fait passer les 12 prochaines nuits à rêver d'avoir été à ta place.

Non je ne suis pas envieux

Sinon les hp qui ne semblent pas être de la marque ressemblent beaucoup à ce que Cabasse mettait dans les voitures non?

J'y ai pensé un peu depuis hier soir et je trouve que ça casse un peu le mythe. Quand on voit le prix d'une paire d'Adriatis c'est bizarre de les abandonner comme ça vous ne trouvez pas?

Ca me rappelle le cas BC Accoustique qui ventait la qualité de son fameux tweeter fostex pour justifier le prix de vente, lequel tweeter est disponible sur le net pour 30$ alors que fostex fait des tweeters à 120$

............

... et accessoirement, quatre Adriatis.

C'est un détail.

Une paille !

Même pas de quoi ce faire un HC, tu parles d'une affaire Toi...

Ah oui j'ai acheté des filtres à un gars sur la baye qui m'expliquait cette vente. Des filtres neufs de MT360 ou 222 je sais plus. Il a pleins de caisses vides aussi, ceci explique cela !

Franchement c'est clair que ca doit être une journée dont tu te rappelleras, tu m'etonnes